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Martin Schlaepfer, porteur du projet #GE-21, invité de La Matinale de la RTS, donne un éclairage notamment sur les contributions des recherches de ce projet quant aux liens entre le bien-être humain et la biodiversité. Ré-écoutez son intervention.

« Genève compte plus d’un million d’arbres », Le Temps du 15 juin 2018, par David Haeberli. Excellent article inspiré par le 1er « #GE-21, Aperçu », contenant de nombreux approfondissements autour de la diversité des activités et des objectifs du projet NOS ARBRES. Cliquez sur l’image ci-dessous.

Le patrimoine arboré du Canton de Genève contribue au bien-être humain de nombreuses manières, mais peut aussi engendrer certains inconvénients (voir GE-21, Aperçu n°2). C’est ce que le projet NOS-ARBRES, collaboration entre partenaires étatiques, académiques, et de la société civile, s’efforce d’approfondir. Un aspect inhabituel du projet était que ni la méthodologie ni les objectifs du projet étaient définis au moment de l’octroi du financement (fonds G’Innove, Ville de Genève). En effet, les porteurs du projet ont fait le pari d’une plus grande efficacité de l’initiative si de tels enjeux étaient définis de manière participative.

Y a-t-il suffisamment d’arbres à Genève ? Si non, où devrait-on en planter prioritairement si nous souhaitons tendre vers une ville et un canton plus “durable"? Aujourd’hui a lieu la restitution finale du projet NOS-ARBRES, entre 17h à 19h, au Palais Eynard (Ville de Genève) en présence de la magistrate Mme Sandrine Salerno, Conseillère administrative en charge du développement durable pour la Ville de Genève, et du magistrat M. Guillaume Barazzone.

Nouvel article de la Tribune de Genève au sujet de la restitution du Rapport du projet NOS-ARBRES. "On vante souvent la quantité de parcs et d’espaces verts à Genève. Mais une étude publiée hier pointe un manque d’arbre dans le Canton. Après trois ans de travail, des chercheurs de l’Université et de l’HEPIA (Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture), appuyés par un panel de personnes issues de bureaux privés et de la société civile, ont établi une cartographie des endroits où ce déficit est le plus important"